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 Histoires de balançoires [Reiko et Aiki]

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Blond à croquer


Yamazaki Keiji

Messages : 19
Age : 36
Emploi : Gérant d'épiceire
Localisation : Ikebukuro



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RP en cours :
Relations:

Histoires de balançoires [Reiko et Aiki] Vide
MessageSujet: Histoires de balançoires [Reiko et Aiki]   Histoires de balançoires [Reiko et Aiki] Icon_minitime1Dim 27 Juin - 22:08

~~Quelques heures plus tôt~~

Il est 23h00. Précisément l’heure où l’épicerie ferme. Mais que ce passe-t-il réellement à l’heure où les gens «normaux» retournent chez eux après une épuisante journée de travail, histoire de décompresser pour retourner dans le monde sinistre et cruel de l’emploi le lendemain. Mais qui sait réellement ce qui se passe dans une épicerie lors de sa fermeture? Est-ce que le gérant travaille dans la paperasse et passe des commandes de produits alimentaires? Ou peut-être passe-t-il un coup de balai avant de retourner chez lui, où il prendrait sûrement un bon bain avant de se mettre au lit et ainsi tomber directement dans les bras de Morphée. Non, pas au Daily Yamazaki. Nous sommes le troisième samedi du mois et tous les employés savent ce que ça signifie. C’est la soirée paris, bien sûr! En fait, chaque employé connaît très bien les règles en vigueur, mais pour le bien de la chose, pourquoi ne pas l’expliquer à nouveau. En fait, chaque employé désirant participer doit fournir une petite somme de 10000 yen, laquelle ils doivent gérer pour parier sur des épreuves du style «cap’, pas cap’». Cette soirée se déroulait très bien, certains employés empochaient une belle petite somme jusqu’à ce que vienne le temps de la dernière épreuve. Celle-ci était un peu spéciale car c’était la seule épreuve choisie des mains de maîtres de nul autre que Keiji lui-même. Et ils le savaient tous, oh oui, ils le savaient très bien que ses épreuves étaient dures et dangereuses. Ainsi, vint le tour du petit nouveau. Cette forme de bizutage camouflée derrière une épreuve était appréciée par Keiji qui ne voulait pas vraiment paraître comme un méchant. C’était lui, le gentil gérant. Après tout, il avait une réputation à tenir et ne comptait la détruire si facilement.

L’épreuve était toute bête et la tension était à son comble. En gros, le jeune employé au doux prénom de Seiji, devait avaler trois biscuits avec à peine 5 cm d’épaisseur de wasabi. Et c’était pas du wasabi sorti du Russian Sushi, oh non, c’était du vrai, du frais, à la limite d’être meurtrier. Le petit nouveau ne semblait pas certains de lui, mais les encouragements de ses partenaires vinrent le rassurer.

«T’es mieux de réussir, j’ai parié tout mon argent sur toi!»
Ou bien :
«Peuh, tu réussiras jamais capable de réussir ça!»

Bref, il avait de quoi être rassuré. L’épreuve commença. Les cris des 4 autres garçons s’accentuaient à mesure où le jeune avalait les biscottes, poussant des gémissants de douleur, selon les observations du gérant. Une de mangée. La deuxième maintenant. Ouf, celle-ci eut du mal à passé. Il pleurait, le pauvre. Mais les cris, non, les hurlements de ses confrères devaient lui donner le courage de continuer. Il prit une pause. Keiji le regarda avec instance, ajouta un mouvement de la main lui suggérant de se dépêcher. S’il voulait réussir, il devait s’activer. Puis vint la dernière biscotte. Il n’était vraiment pas sûr mais d’un coup, d’une bouchée, il avala le tout. Les hurlements de joies retentirent dans toute la salle de stockage, y comprit Keiji qui félicitait surtout le jeune d’avoir réussit ce tour de force. Puis, ce fut le silence. Car bon, quand quelque chose pouvait mal tourner, eh bien, elle tournait mal. Ils entendirent un hoquet, puis tous se tournèrent vers Seiji. Le pauvre était en train de s’étouffer. Conscient de l’argent qu’il y avait en jeu, certains se dépêchèrent de réclamer leur argent.

«Hé, il s’étouffe, ça veut dire qu’il a pas tout mangé! IL A PERDU!»

«Non, les trois biscuits sont dans sa gorge, il les a mangés!»
«Tu vois bien que non, puisqu’un morceau est resté coincé dans sa gorge. Il a pe-re-du!»

Keiji se frotta les paupières du bout des doigts et dans un geste plutôt charismatique, il s’exclama :

«APPELEZ UNE AMBULANCE, MERDE! Sinon je vous coupe vos salaires de moitié!»


Et ils s’exécutèrent. Ils tentèrent aussi maladroitement que possible de faire recracher la biscotte au pauvre agonisait qui, tout bleu, pleurait à chaudes larmes. Puis l’ambulance arriva. Les 4 garçons, mal à l’aise, regardaient les professionnels s’exécuter. Après quelques minutes, un ambulancier vint voir le groupe.

«Qui a eu l’idée de lui faire bouffer ça?»

Tous pointèrent en direction du gérant qui baissa les yeux en apportant sa main à son visage. L’homme dévisagea Keiji avant de venir mettre sa main sur son épaule. Avec une pointe de déception, il lui dit :

«Monsieur. Vous êtes vraiment un idiot»

~~Maintenant~~

Ainsi, les ambulanciers partirent et il renvoya les autres, les menaçant de devoir travailler bénévolement s’ils ne s’en allaient pas immédiatement. Ainsi, il s’est retrouvé tout seul dans Ikebukuro et n’ayant pas envie de rentrer immédiatement chez lui, il décida de se promener un instant et de trouver un endroit calme pour décompresser un peu. Il marcha à travers le quartier, passant devant plusieurs magasins qui restaient ouverts malgré l’heure tardive. Il ignorait la population nocturne du quartier, tous ces jeunes qui veillaient tard, ces adultes en souper d’affaires ou tout simplement en sortie, quelques vieux et malheureusement trop de membres des yellow scarves. À chaque fois qu’il en apercevait ne serait-ce qu’un seul d’entre eux, il détournait systématiquement le regard par peur d’être reconnu par ces jeunes voyous. Au moins, contrairement aux Dollars, ils étaient plus facilement visible que ces derniers (en assumant qu’ils existaient, bien entendu)

Il marcha un moment, le visage long et repensant à tout ce qui s’est produit dans la soirée. Il s’était fait traité d’idiot avec une sincérité franchement choquante! Comme osait-il le traite d’idiot, LUI! Il était le seul à pouvoir se traiter d’idiot, quand même! Marmonnant et boudant, il marcha sans réellement regarder devant lui. Il marchait tout droit et ignorait le reste, prisonnier de sa bulle jusqu’à ce qu’il atteigne finalement la destination souhaitée. En fait, il n’avait pas réellement pensé à un endroit, c’est plutôt l’endroit qui a pensé à lui. Minami Ikebukuro Park. Un sourire s’afficha sur ses lèvres et il retrouva presque instantanément sa bonne humeur. Il marcha un peu dans l’herbe courte et bien entretenue jusqu’à atteindre les balançoires. Sans réellement y penser ou quoi que ce soit, il embarqua debout sur l’une d’entre elles et commença, lentement, dans un mouvement presque nonchalant, à se balancer comme il en avait l’habitude autrefois. Il continua son manège quelques minutes jusqu’à en être lassé puis posa ses fesses sur celle-ci et se propulsa à l’aide de ses jambes, effectuant ainsi un petit mouvement de va et vient constant. Bien sûr il n’alla pas bien haut, mais ça lui importait peu de toute manière. Il n’était pas à la recherche de sensations fortes ce soir. Vêtu de sa fameuse chemise blanche et de son pantalon noir de travail, il regardait droit devant lui, un peu comme s’il attendait quelque chose. Il avait un sourire niais au visage, un peu comme s’il avait perdu toute sa simili-tristesse de tout à l’heure.
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Détective Rei
Détective Rei


Reiko Sakurai

Messages : 78
Emploi : Détective, mais chut.
Localisation : Chez eux



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MessageSujet: Re: Histoires de balançoires [Reiko et Aiki]   Histoires de balançoires [Reiko et Aiki] Icon_minitime1Dim 27 Juin - 22:41

Les lampadaires déjà allumés annonçaient une soirée bien entamée. La demoiselle marchait assez vite, et sa silhouette se dessinait de lampadaire en lampadaire. Ses cheveux blonds rythmaient sa cadence assez rapide. Cette soirée là, Reiko n’avait pas mis de talons. Premièrement elle les trouvait bien trop bruyants pour enquêter de nuit, puis en cas de grabuge, elle ne pourrait pas courir à sa guise. Mais encore une fois, cette soirée là, la demoiselle n’était pas sortie spécialement pour fouiller les bas fonds d’Ikebukuro. Son frère bien aimé devait rentrer tard cette nuit, alors, pour en quelque sorte le récompenser, la demoiselle voulait lui cuisiner quelque chose de bon. Pleine d’entrain, elle ouvrit ses placards. Inutile de vous dire qu’à part des soupes déshydratées et quelques chips, ce soir là, ce n’était pas la joie dans les réserves non plus. Le point positif ? Et bien il lui fallait aller chercher de toute urgence quelque chose à manger. De plus, Reiko avait entendu parler d’une nouvelle épicerie dont on vantait les mérites et la gentillesse du gérant. Un certain Keiji si sa mémoire valait encore le coup.

Le plan de l’épicerie à la main, la blondinette essayait de la repérer parmi les rues du quartier. Malgré son ancienneté ici, la petite Français avait toujours du mal à se repérer. Légèrement prise de panique, la demoiselle cherchait du regard un moyen rapide et efficace pour trouver le magasin. Une personne assez âgée passait justement par là. Quel heureux hasard ! La demoiselle tenta de ne pas l’effrayer et s’approcha doucement d’elle. Sa question était simple et je vous la résumerait en un « L’épicerie de monsieur Keiji s’il vous plaît ? ». N’oublions pas la politesse, chose importante. La vieille femme posa les courses dont elle était chargée à terre et pointa du doigt l’ambulance qui roulait à toute vitesse. En effet, Reiko devait simplement remonter cette rue, puis ça ne devrait plus être si compliqué.

Enfin arrivée à destination, le sort s’acharnait sur elle ; l’épicerie était fermée. A cette heure, il fallait s’en douter, mais l’espoir fait vivre. Les bras ballants, la demoiselle décida d’aller au parc se changer un peu les idées. Son frère arriverait dans encore longtemps, alors elle pouvait se l’accorder. Le chemin était bien éclairé, ce qui rassura Reiko. A cette heure ci, fut un temps, elle aurait craint de passer le chemin qui menait au parc. Oui, les gangs étant nombreux, l’on est jamais trop prudent, surtout si vous êtes une demoiselle.

Le parc était vraiment beau, surtout de nuit. Même si elle ne s’attendait pas à voir grand monde, elle trouva quand même un jeune homme assit sur une .. balançoire ? Rien qu’à cette simple idée, la demoiselle eut un rire amusé. Au final, elle s’approcha du jeune homme. Quitte à rester un moment dans le parc, autant être accompagnée.

Sa démarche était posée, mais elle ne manquait pas d’observer le jeune homme. Blond et vraiment charmant. Le fait qu’il soit sur un balançoire le rendait encore plus mignon, enfantin. Alors, Reiko s’assit également sur la deuxième balançoire qu’il y a avait à disposition. En effet, les deux jeunes gens ne pourraient pas vraiment faire de folie là dessus, mais c’en était amusant.

« J’avoue qu’il n’y a pas d’âge ! »
, lâcha-t-elle en regardant le jeune homme et en esquissant son plus charmant sourire.

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So sick of Memories
✝So sick of Memories✝


Aiki Kuruma

Messages : 82
Age : 29
Emploi : Simple Lycéenne au Lycée Raira



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MessageSujet: Re: Histoires de balançoires [Reiko et Aiki]   Histoires de balançoires [Reiko et Aiki] Icon_minitime1Mar 29 Juin - 13:16

    Les yeux remplis de larmes, un bleu s'étalant le long de son bras, des poings rougis par un nombre conséquent de coups portés, tel était le portrait peu avantageux qu'offrait Aiki, lycéenne à priori jeune et jolie, en ce moment même.
    Oh bien sûr ! Au fond se n'était pas grand chose ! Qui n'a pas pris un coup ou deux dans sa vie ? Et de même, qui n'a jamais souhaité une bonne leçon à un ennemi au point de devenir violent ? Ok, ici l'ennemi s'apparentait plus à une bande de quatre personnes, mais elles se vantaient elles mêmes de faire partie des Dollars. A croire qu'elles n'attendaient que leur raclée.
    Ne vous méprenez pas : Aiki n'est pas d'un naturel violent. Certes, elle a d'excellents réflexes, un tempérament colérique et des résultats en sport lui permettant largement ce genre de folies, mais ce n'était pas une raison suffisante pour qu'elle en abuse... Du moins, pas volontairement.
    Mais revenons à l'instant présent : pourquoi une jeune fillette d'habitude si joyeuse et respirant littéralement la joie de vivre se morfondait-elle dans un parc, la nuit, aux côtés d'un arbre dont l'écorce se détachait progressivement suite à des coups répétés au même endroit ? Pour le comprendre, il faut remonter quelques heures auparavant.

    Il était aux alentours de 21h, et le ciel était encore clair, quoique le crépuscule menaçait le bleu de sa présence ténébreuse. Il n'était techniquement pas si tard, et pourtant, Aiki n'était pas rassurée, mais alors pas du tout.
    En effet, cela faisait maintenant plusieurs jours qu'elle croisait sur sa route la même bande de greluches dans la rue qui menait à sa chambre d'hôtel, plusieurs jours qu'elles étaient là, postées sur le trottoir d'en face lorsque la fillette de 15 ans sortait faire sa petite ballade nocturne. Plusieurs jours qu'elles la fixaient de manière malsaine, tout en étant pertinemment au courant qu'elle appartenait au gang de couleur jaune.
    Il faut dire que la jeune fille ne faisait pas spécialement d'efforts pour le cacher. Son foulard aux couleurs du gang fièrement attaché à son poignet dès que la sonnerie annonçant la fin des cours se faisait entendre, ou bien son petit pendentif à la pierre ambrée accroché autour de son cou, évoquaient son appartenance aux Echarpes Jaunes. A quoi bon faire partie d'un gang si c'est pour devenir encore plus invisible qu'avant ?
    M’enfin, tout s’était passé extrêmement vite. Elle était sortie, comme à son habitude, et ces filles l’avaient abordée. Au début engageant gentiment la discussion, l’air de rien. Puis, elle avait sorti le mot qu’il ne fallait pas mentionner : Dollars.
    La seconde qu’elle avait entendu ce doux mot lui parvenir à l’oreille, ses pupilles s’étaient dilatées et son corps crispé. Etaient-elles au courant de la sale histoire qui avait eu lieue il y a quelques années ? Ou étaient-elles juste fières de faire partie d’un gang dont l’invisibilité remettait sérieusement en cause son existence ?
    C’était parti tout seul.
    Ce n’était absolument pas prémédité. Mais lorsque ces personnes inconscientes avaient prononcés les mots « Dollars » et « meurtre », elle n’avait pas pu retenir son poing qui avait atterri sur sa joue. S’ensuivit une danse de poings, de coup de pieds, de pleurs, de bleu, un peu de sang aussi. Y avait pas photo, elle avait prit presque aussi cher que ses adversaires. Mais elle ne s’en était pas rendu compte. D’ailleurs, c’était déjà bien vite oublié. La colère peut provoquer des ravages n’est-ce pas ?
    Ce n’est que lorsqu’elle passa devant une vitre et qu’elle eu la bonne idée de se regarder qu’elle aperçu son visage qui indiquait à tous les coups une bagarre. Touchant la vitre et penchant la tête afin d’être sûre qu’il s’agissait bien d’elle, toute la scène lui revint en mémoire. Les provocations incessantes, la tentative d’étranglement, la violence extrême que les deux opposants avaient déployée…Pour quoi ? Pour rien au final. Vu qu’aucun des deux adversaires n’avait trouvé la mort.
    Elle avait couru, couru loin et vite. Pour oublier.

    Quelle violence, pas étonnant que les gens normalement constitués trouvent rapidement la mort ici ! Certes, elle n’aurait pas dû débuter les hostilités. Mais elles faisaient partie des Dollars…
    Etait-ce pour autant une raison suffisante ?
    Non.
    Mais elle n’avait pas su être adulte, au point de pardonner la trahison. Elle n’avait pas su être adulte, au point de pardonner la souffrance quotidienne que ce gang avait infligée à elle et toute sa famille.
    Elle avait perdu.
    Ouvrant les yeux, elle regarda autour d’elle. Des arbres, de l’herbe, des bancs. Le parc.
    Comment avait-elle atterrit ici ? Elle n’en avait aucune idée. Mais il devait se faire tard, alors autant sortir, par n’importe quel moyen.
    Resserrant le foulard jaune qui entourait quotidiennement son poignet, elle daigna se lever et prit la direction de la sortie. Il fallait croiser l’aire de jeu. Serait-il possible qu’elle y reste un peu ? Elle n’aurait pas été contre un petit tour de balançoire, juste histoire de se rappeler à quel point il était bon de rester éternellement un enfant. Hors des gangs, hors de la violence, hors du sang.
    Elle senti cependant la présence de deux personnes, et ses pupilles violettes croisèrent les silhouettes de ces deux dernières. De loin elle ne distinguait pas vraiment. Un homme, et une femme peut-être ? Il fallait qu’elle se rapproche.
    D’un pas feutré, elle traversa l’aire de jeu, arrivant derrière la balançoire. Le jeune homme apparemment blond ne pouvait pas la voir. Sauf si ce dernier se retournait. Quant à la jeune femme…C’était juste une question de volonté.
    C’est donc dans la pénombre du soir qu’Aiki se retrouvait postée derrière une balançoire à observer deux inconnus qui avaient autant à faire dans ce parc qu’elle. Il était encore temps de partir, encore temps avant qu’ils ne remarquent sa présence. Alors pourquoi restait-elle là à attendre alors qu’elle dérangeait clairement un moment d’intimité entre deux personnes ?!
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MessageSujet: Re: Histoires de balançoires [Reiko et Aiki]   Histoires de balançoires [Reiko et Aiki] Icon_minitime1

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